Sarkozy ministre:
« La présence à long terme des troupes françaises à cet endroit du monde ne me semble pas décisive. »
« Le président de la République [Jacques Chirac, auquel il va bientôt succéder] a pris la décision de rapatrier nos forces spéciales et un certain nombre d’éléments. C’est une politique que je poursuivrai. Et, de toute manière, si vous regardez l’histoire du monde, aucune armée étrangère n’a réussi dans un pays qui n’était pas le sien. Aucune! Quelle que soit l’époque, quel que soit le lieu! »
Sarkozy président:
« Nous n’avons pas le droit de perdre là-bas. Nous n’avons pas le droit de renoncer à défendre nos valeurs. Nous n’avons pas le droit de laisser les barbares triompher. Car la défaite à l’autre bout du monde se paiera d’une défaite sur le territoire de la République française. »
« La présence à long terme des troupes françaises à cet endroit du monde ne me semble pas décisive. »
« Le président de la République [Jacques Chirac, auquel il va bientôt succéder] a pris la décision de rapatrier nos forces spéciales et un certain nombre d’éléments. C’est une politique que je poursuivrai. Et, de toute manière, si vous regardez l’histoire du monde, aucune armée étrangère n’a réussi dans un pays qui n’était pas le sien. Aucune! Quelle que soit l’époque, quel que soit le lieu! »
Sarkozy président:
« Nous n’avons pas le droit de perdre là-bas. Nous n’avons pas le droit de renoncer à défendre nos valeurs. Nous n’avons pas le droit de laisser les barbares triompher. Car la défaite à l’autre bout du monde se paiera d’une défaite sur le territoire de la République française. »