(...)Le monde arabe a pris conscience qu'il n'est pas nécessairement voué à des régimes archaïques et totalitaires, dirigés par des leaders appartenant à l'ère de la décolonisation. C'est la fin de l'exception arabe, celle qui voulait que des sociétés éduquées n'aient pas accès à la démocratie.
Jean-Yves Moisseron, économiste à l'Institut de recherche pour le développement (IRD), rédacteur en chef adjoint de la revue "Maghreb-Machrek"
Article paru dans LEMONDE, l'édition du 22.02.11
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