"Je ne regrette jamais mes
choix", a par ailleurs soutenu François Bayrou, questionné sur sa décision
d'entre-deux tours. "Nicolas Sarkozy avait introduit un climat de violence
très grand. Je ne sais pas si vous vous rendez compte des thèmes qui ont été
portés... Le discours qui m'a le plus frappé était celui de Toulouse, qui
appelait à remettre des frontières partout, entre le bien et le mal, entre le
beau et le laid. Il avait même ajouté que l'école serait le lieu où l'on
apprendrait désormais ces frontières. Or, pour moi, l'école est le lieu où l'on
démontre au contraire aux enfants que l'on peut se comprendre et se rencontrer
au-delà des frontières", a-t-il souligné.
"Si vous passez
votre temps à faire flamber, entre Français, les idées d'origines, de
religions, que nous ne sommes pas les mêmes, vous entretenez un climat
d'affrontement mortel. Ce n'est pas un problème de la droite contre la gauche,
car il y a des valeurs de droite que je partage. Mais dans un pays, faire
flamber les divisions, c'est mortel, encore plus en période de crise où tout le
monde cherche des bouc-émissaires. Ce climat là, que je voyais venir depuis
longtemps, a décidé mon vote de second tour et je ne regrette pas ce
choix", a-t-il conclu avec conviction (Francois Bayrou, RMC 16 Mais 2012)
Initiateur
de ces thèmes à chaque campagne électorale, le Centre se bat sur 4 axes
fondamentaux, pour relever la France.
- l'urgence
de la dette,
- l'urgence
de la cohésion nationale,
- l'urgence
de la ré-industrialisation,
- l'urgence
de l'exemplarité et la morale en politique.
Avec la foi
en l'Europe, les pères spirituels dont il est issu, le respect de la
République et d'une laïcité équilibrée (ni laïcarde ni positive), les
ouvertures démocratiques et l'ancrage du terroir en font de ce parti, une
position intéressante, une vigie et l’alternative raisonnable pour les enjeux
avenirs.
En ce jour de match je pose la question au FN, comment peut-on se dire patriote et vouloir que la France se fasse sortir de l 'euro ? Hein ?
RépondreSupprimerNadia